Boom des prix de l'immobilier? Au Canada, tout est fini!

L'économie est presque toujours imprévisible. De nombreux facteurs peuvent déterminer le succès d’une stratégie et l’échec d’autres. Fondamentalement, lorsque la période est florissante, bien que certains prix puissent être élevés, la courbe de la demande ne change pas, mais correspond parfaitement à la courbe de l'offre.

Si, par conséquent, il est facile de comprendre quand une nation traverse une excellente phase, il est en revanche impossible de prédire combien de temps durera cette parenthèse. Ce phénomène a touché à plusieurs égards l'un des États les plus uniques et les plus enviés au monde: le Canada!

Après une hausse constante et soudaine des prix de l'immobilier, ces dernières années, jusqu'au sommet de tous les temps enregistré en 2018, le pays connaît un fort ralentissement, suivi d'un déclin parallèle, accompagné également d'une hausse croissante des taux économie lente. Outre la baisse de la demande, le secteur de la construction, qui a toujours été un chef de file dans la nation canadienne, s'est fortement affaibli.

Les contrats de vente ont diminué de 20% par rapport au dernier trimestre de 2018. Mais nous entrons encore plus dans cette crise du secteur, avec une analyse encore plus détaillée.
Selon l'Association canadienne de l'immeuble (ACI):

• Les prix des appartements ont enregistré des revenus annuels de 4,85% - mais ils ont augmenté de 19,69% l'an dernier
• Les maisons mitoyennes ont augmenté de 3,06% - mais de 12,07% l'an dernier
• Le prix moyen d'une maison unifamiliale à un étage a diminué de 0,27%, tandis que celui des maisons à deux étages a augmenté de 0,4%.
• Les prix des maisons à Victoria montrent la plus forte augmentation de 5,95% par rapport à 2018, suivis par Ottawa (5,8%), Hamilton (4,48%), Montréal (4,27%), Toronto (3, 62%) et Vancouver (1,41%)).
• Les prix des maisons déflatées à Calgary (-2,64%), à Edmonton (-1,87%), à Winnipeg (-0,49%), au Québec (-0,14%) et à Halifax (-0,04%). ).

L’un des problèmes à l’origine de cette impasse est, comme nous l’avons déjà mentionné, des taxes extrêmement élevées. le loyer brut est soumis à un impôt fixe de 25 points de pourcentage.

Cependant, les non-résidents peuvent choisir de payer, conformément à l'art. 216 de la loi de l'impôt sur le revenu, les impôts sur leur revenu net aux taux progressifs fédéraux. Même les non-résidents qui choisissent l'article 216 sont soumis à une surtaxe de 48%.

Nous vous rappelons également que seuls 50% des gains en capital sont imposables. Les gains en capital sont calculés en déduisant les coûts engagés pour la vente et l'achat de la propriété, les dépenses en capital et les coûts tels que les ajouts et les améliorations à la propriété.
Il est important de noter qu'il n'y a ni héritage ni impôt sur les successions au Canada!

Cela semble étrange, mais dans tout cela, il y a toujours un avantage qui permet au marché immobilier canadien de rester à flot. Nous parlons de coûts de transaction: très bas!

Quoi dire, nous espérons pouvoir activer des politiques visant à résoudre ces problèmes, afin que ce pays puisse retrouver toute sa splendeur!

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